Retour, départ
Araignée||dimanche 17 août 2008||16:17 ||Lien permanent
J’avais oublié l’odeur écœurante de la foule des festivals, la magie des mises en scène, le goût de la bière frelatée ; le bruit de la pluie sur la tente, le café dégueulasse, la galette-saucisse ; les fous déguisés, la bonne humeur, les hurlements, les minettes sur-lookées à la mode Inrocks.
Il y avait des montgolfières, un type avec une salade sur la tête, un autre qui tapait dans ses mains à contre-temps ; je crois qu’il a compris que je souriais à cause de lui.
J’ai revu The Notwist, évidemment géniaux, j’ai découvert sur scène Sigur Rós, fascinants, grandioses, surprenants. J’ai entendu d’autres choses aussi, à réécouter pour savoir ce que j’en pense vraiment.
Bref, j’ai un peu de mal à comprendre pourquoi bordel je me réveille depuis avec Natasha Saint-Pier dans la tête.
Je me casse en stage, adios !
Commentaires
> le goût de la bière frelatée
Le non-goût du cidre frelaté, ouvertement coupé à l'eau (glaçons). Scandaleux!!
Le bruit de la pluie sur la tente? Pas entendu. T'aurais pas confondu avec le bruit d'un mec qui pétait dans la tente?
Haaa les Notwist... The devil you + me tourne un peu en boucle sur ma platine depuis sa sortie. Tu peux essayer Laëtitia Shériff et son merveilleux dernier album "games over". J'ai pas vu beaucoup de chronique dessus et c'est bien dommage. Nul n'est prophète en son pays.
Ha vouiiiiiiiii Sigur Rós ! J'ai découvert ça moi aussi... à la fnac. Bon, faut dire que c'est pas pratique un bébé dans un festival...