Une soirée de presque-trentenaires. Une batterie et deux Fender trônent au milieu du salon. J’ai entendu dire qu’un des invités était une superstar à la guitare, j’ai hâte d’entendre ça ; ils vont nous servir du bon tube des années 70 avec des solos interminables.

Justement, les premiers accords résonnent, on s’installe, on encourage. Je reconnais l’intro.

Téléphone, Un autre monde. Mais pourquoi Jean-Louis Aubert existe-t-il ? Pourquoi ? POURQUOI ?