Décembre 2010.


En retournant dans le Finistère pour les vacances, j’apprends à aimer ce coin où je suis née. Et je découvre des choses devant lesquelles je suis pourtant passée un milliard de fois.

En n’y vivant plus, je me rends aussi compte à quel point cette ville est un vrai gâchis, avec ses zones commerciales immondes qui poussent comme des champignons en périphérie tandis que le centre-ville meurt, avec ses parkings en bord de mer, ses belles maisons détruites pour construire des immeubles, et ça me donne la nausée rien que d’y penser, tiens. 

Heureusement qu’on peut tourner le dos à tout ça pour regarder la mer.