Je ne crois pas l’avoir dit ici, mais mes followers Twitter en ont bavé : pendant les vacances de Noël on s’est fait cambrioler. Et avec Vlad, le premier instant de rage passé (mon disque dur externe a disparu), on a vite compris que notre voleur, soit il a douze ans, soit il est simplet (on soupçonne le voisin. Non, il n’a pas douze ans). Parce qu’à part mon disque dur, presque rien n’avait disparu, alors qu’on avait des chéquiers, une coupe magnifique, un caisson de basses, un club de golf flambant neuf… Par contre il a pris du tabac, des capotes, les DVD de Star Wars et du Parrain (non mais il allait pas prendre le coffret Godard, vous pensez bien)… et enfin ça. Parce que Vlad, il y a longtemps, gardait les pièces de centimes qui encombraient son portefeuille dans un pot à crayons. Ce pot, on ne savait pas trop quoi en faire et il traînait dans la cuisine. Et le pot a disparu. Notre voleur est donc maintenant riche de deux euros environ. On en rit encore.
Donc vous comprenez pourquoi les profilers que nous sommes ont conclu que le criminel est soit un adolescent, soit un déficient intellectuel (autrement appelés respectivement « branleur » et « gros abruti »).

Bref, tout ça pour dire qu’aujourd’hui j’ai reçu une mystérieuse lettre presque anonyme, et qu’après avoir soigneusement recollé les lettres qui s’étaient fait la malle, j’ai pu lire ça :

Bon, heureusement qu’il a pris soin de préciser son identité en bas de la lettre pour me rassurer, hein. Des fois que le nom de l’expéditeur au dos de l’enveloppe aurait pas suffi.

Avec la lettre, il y avait dans l’enveloppe un Malabar.

Donc voici où je veux en venir : IL EST OÙ LE PUTAIN DE SECOND MALABAR ?