C’est presque ça, c’est presque là, c’est presque toi, c’est presque assez…

J’ai tourné et retourné la question dans ma tête, et finalement, la meilleure chose à faire de ce mot, « presque », porteur de toutes les attentes, toutes les promesses, tous les désirs, toutes les peurs et toutes les déceptions, c’est encore une épitaphe.

Là encore, je faillis à respecter la consigne des 366 réels à prise rapide, puisqu’il ne vous aura pas échappé qu’aujourd’hui je ne suis pas morte. Ce n’est pourtant pas faute d’avoir conduit dans la neige et le verglas, et pris dans ma voiture un parfait inconnu ; que voulez-vous, quand ça veut pas, ça veut pas.